Salomé Pleyel
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Re: Salomé Pleyel
Filippo, le Bayrou du lyrique !
Dernière édition par le Ven 25 Mai 2007, 18:06, édité 1 fois
jeanch- Nombre de messages : 1140
Date d'inscription : 09/01/2006
Re: Salomé Pleyel
jeanch a écrit:Filippo, le Bayrou du lyrique !
Allez, je vais faire preuve de bon caractère et ne pas monter sur mes grands chevaux.
Je précise que je regrette infiniment que Stemme ait annulé. Même si elle est remplacée par Baird.
Filippo- Nombre de messages : 147
Date d'inscription : 09/01/2006
Re: Salomé Pleyel
jeanch a écrit:Filippo, le Bayrou du lyrique !
Tu vois. Tu t'y mets à Janice.
Tu l'as mise sur la plus haute marche du podium.
Mais Nina plus bas que Bayrou... là, tu m'étonnes
Re: Salomé Pleyel
Jeanch, Bayrou est de trop, laisse Nina et Janice tranquille !
Kat.
Kat.
Kat- Nombre de messages : 518
Date d'inscription : 08/01/2006
Re: Salomé Pleyel
J'ai réduit Janice.Kat a écrit:Jeanch, Bayrou est de trop, laisse Nina et Janice tranquille !
Kat.
jeanch- Nombre de messages : 1140
Date d'inscription : 09/01/2006
Re: Salomé Pleyel
Filippo a écrit:C'est quand même très réducteur...On peut aimer ET Freni, ET Scotto, aimer Domingo, ET Corelli, ET Pavarotti, ET Vickers, aimer Ghiaurov, ET Ramey, ET Siepi... Personnellement, je les aime tous, mais pas pour les même raisons ni dans les mêmes rôles...
J'aime Freni pour la beauté du son, mais aussi pour certaines intonations. J'aime Scotto pour ses talents de tragédienne malgré certaines limites vocales... Ca fait quoi de moi ? Un centriste ?
Evidemment que c'est réducteur... surtout quand ma réduction est encore réduite à une vision binaire.
Filippo a écrit:De toutes façons ça tourne plus ou moins autour du fameux "Prima la musica, doppo le parole..."
Les lignes de fractures sont plus nombreuses. En vrac:
- texte vs musique
- voix vs chant
- style vs engagement
- scene vs chant
Et caetera. En cherchant un peu on pourrait en trouver d'autres.
Si on reprend les propos de Cabourg dans Opera Magazine il semblait faire tout particulièrement l'éloge d'un Calleja (musique, chant, style, chant) et critiquer Villazon... qui est le parfait opposé (texte, voix, engagement, scène). Je ne cache pas que le quadruplet de Villazon me parle beaucoup plus que celui de Calleja... qui m'ennuie à mourir.
Re: Salomé Pleyel
Kat a écrit:je milite pour désormais associer Salome à Elektra (avec un entracte entre les deux opéras tout de même, ne serait-ce que pour avoir le temps de mettre des gouttes dans les oreilles).
Kat.
C'est un peu le même principe que le ring en deux jours ça passe tout seul (mais il faut bien manger entre les opéras n'est pas sieglinde) !
Hagen-
Nombre de messages : 92
Age : 55
Date d'inscription : 19/05/2007
Re: Salomé Pleyel
Un petit compte-rendu Pascal ?pascal a écrit:et la marmotte ...
on parle de Nadja Michael à Strasbourg ; j'assiste à la représentation ce soir au PMC
stay tuned
jeanch- Nombre de messages : 1140
Date d'inscription : 09/01/2006
Re: Salomé Pleyel
Et pas entendre Abi ? On comprend aisément, c'est plus une chanteuse à voir qu'à entendre.Abigaille a écrit:J'aimerais bien voir ce que donne Baird en vrai.
jeanch- Nombre de messages : 1140
Date d'inscription : 09/01/2006
Re: Salomé Pleyel
jeanch a écrit:Et pas entendre Abi ? On comprend aisément, c'est plus une chanteuse à voir qu'à entendre.Abigaille a écrit:J'aimerais bien voir ce que donne Baird en vrai.
Entendre et voir, bien sûr !
Re: Salomé Pleyel
Abigaille a écrit:J'aimerais bien voir ce que donne Baird en vrai.
Viens mardi soir... il reste qqes places, mais peu.
Contrairement à la rumeur, les gens ne se sont pas précipité pour retourner leurs places...
Re: Salomé Pleyel
On verra bien devant mardi soir !windgassen a écrit:Abigaille a écrit:J'aimerais bien voir ce que donne Baird en vrai.
Viens mardi soir... il reste qqes places, mais peu.
Contrairement à la rumeur, les gens ne se sont pas précipité pour retourner leurs places...
jeanch- Nombre de messages : 1140
Date d'inscription : 09/01/2006
Re: Salomé Pleyel
jeanch a écrit:On verra bien devant mardi soir !windgassen a écrit:Abigaille a écrit:J'aimerais bien voir ce que donne Baird en vrai.
Viens mardi soir... il reste qqes places, mais peu.
Contrairement à la rumeur, les gens ne se sont pas précipité pour retourner leurs places...
Je ne sais pas mais jeudi Pleyel disait qu'il y aurait certainement des retours, pas pour ou contre l'une ou l'autre; mais il est logique que comme beaucoup avait réservé surtout pour Nina Stemme, ils aient eu l'envie de ne plus venir et se faire rembourser ou je ne sais quoi.
Mais Po essayait d'avoir une place.. à 14 h il restait é places pas terrible à 45 à 1 à 60 au delà je ne saispas.
Re: Salomé Pleyel
windgassen a écrit:Abigaille a écrit:J'aimerais bien voir ce que donne Baird en vrai.
Viens mardi soir... il reste qqes places, mais peu.
Contrairement à la rumeur, les gens ne se sont pas précipité pour retourner leurs places...
Je ne peux, hélas, me téléporter ...
Salomé en concert à Strasbourg
à la demande expresse de jeanch, je m'exécute (c'est de circonstance) et m'essaie donc au genre du compte-rendu…
comme beaucoup d'entre vous, chers lecteurs, et comme d'autres au concert ce soir, je me réjouissais d'entendre Nina Stemme pour la première fois. J'avais, pour cet évènement, réservé ma place dès le mois de septembre. J'étais donc déçu de son annulation et inquiet de son remplacement. J'avais tort.
Nadja Michael fait mieux que sauver la soirée. Elle apparait, mince voire fine, cheveux plaqués, dans une robe couleur flamme, ample et plissée, généreusement décolletée. L'entrée en scène est résolue : ça va saigner. Cette Salomée, qui n'est ni la plus fragile ni la plus sensuelle, est de feu et de sang. Les graves sont magnifiques ; les aigus présents et efficaces me paraissent moins glorieux et pas toujours très tenus. Triomphe à l'issue du concert.
La confrontation avec Merritt est remarquable. Elle est un bloc de bronze, immobile, réclamant inexorablement sa récompense face à un Merritt possédé par le désir et la frayeur. N'ayant pas connu sa période belcantiste (mais dont deux amis au goût très sûr m'avaient vanté les fastes), je ne l'ai entendu qu'une fois, en Hérode déjà, avant le naufrage vocal de son Eléazar. On en a embastillé pour moins que cela. Certes, l'acteur était parfaitement crédible et l'homme et l'artiste bouleversants dans les gestes d'impuissance face à la bronca, mais la prestation faisait peine. Deux mois plus tard, c'est un autre homme, un autre chanteur que j'avais devant moi. L'incarnation, même en version de concert, est captivante : ce mélange de désir, de peur, de dégoût, de lâcheté … et d'autorité, Merritt le montre, d'un geste, d'un regard, d'une intonation. Ce combat stupéfiant, dont Hérode sent puis connait l'issue, au point de faire payer à la princesse, sa victoire et son emprise sur lui, Merritt nous le fait vivre.
Triomphe mérité à l'issue du concert également.
Le cas d'Anja Silja est plus difficile. C'est une grande artiste qui apparait en scène, campant une reine noble, cruelle, manipulatrice. Une ancienne Salomé surtout, qui a su éviter le fer. Mais il me faut reconnaître les difficultés d'aujourd'hui. Ses premières interventions relèvent du Sprechgesang et le volume sonore, face à un orchestre déchaîné (et non atténué par la fosse) est bien faible. On percevera plus tard dans la soirée quelques aigus percutants. Une vraie présence en scène, bien sûr, et elle semble prêter beaucoup d'attention à ses camarades, notamment à Nadja Michael.
Captivé par de tels monstres, j'avoue n'avoir prêté que bien moins d'attention à Iochanann, interprété par Alan Titus. Son chant, dans sa citerne ou sur scène, m'a semblé tout à fait honorable, mais ni le timbre, ni l'interprétation ne m'ont emporté. Je fais sans doute preuve d'injustice, en étant moins sensible à cet artiste, dont le charisme me paraissait inférieur à celui des trois autres. Le Narraboth de Rainer Trost était bien chanté, mais je n'ai pas beaucop plus à en dire. Il en sera de même pour les rôles secondaires, bien que conquis par le chœur des Juifs.
L'orchestre était en bien meilleure forme que lors du Rheingold donné à l'Opéra, dont l'ouverture se confondait avec celle de la chasse. C'est en place, puissant, sonore, mais pas spécialement subtil. J'aurais aimé plus de mystère et de moiteur dans les interventions des bois et dans les pianos des cordes. Les percussions sont vigoureuses, et ça ne me déplait pas.
Assis pendant la danse des sept voiles, Merritt, quand il ne reboutonnait pas sa chemise récalcitrante, regardait d'un air amusé le chef, Marc Albrecht, et ses sauts de cabri sur l'estrade .
Public habituel. Les abonnés et les spectateurs les plus aisés ne connaissent guère les usages du concert, ou les méprisent : sonnerie de téléphone, commentaires et conversation avec l'épouse ou les amis etc.
Le programme était offert, attendant sur chaque siège. Pas de surtitrage, et donc le livret fut utile et consulté, sans trop de dérangement .
Beaucoup de succès auprès du public. Bouquets pour les dames.
Les artistes se sont livrés avec beaucoup de gentillesse et de simplicité aux manies de leurs fans : signature de programme et de livret de disque, photos etc. Madame Silja prêtait une attention bienveillante à Nadja Michael. Monsieur Merritt m'a reçu avec beaucoup d'humour.
Et voilà. Mais je ne ferais pas ça tous les jours ;-)
Ayant renoncé à la dernière minute à y retrouner, je cède maintenant la place aux spectateurs de ce soir, en attendant impatiemment les commentaires de ceux qui auront assisté aux débuts parisiens de la femme qui chante le plus fort au monde.
comme beaucoup d'entre vous, chers lecteurs, et comme d'autres au concert ce soir, je me réjouissais d'entendre Nina Stemme pour la première fois. J'avais, pour cet évènement, réservé ma place dès le mois de septembre. J'étais donc déçu de son annulation et inquiet de son remplacement. J'avais tort.
Nadja Michael fait mieux que sauver la soirée. Elle apparait, mince voire fine, cheveux plaqués, dans une robe couleur flamme, ample et plissée, généreusement décolletée. L'entrée en scène est résolue : ça va saigner. Cette Salomée, qui n'est ni la plus fragile ni la plus sensuelle, est de feu et de sang. Les graves sont magnifiques ; les aigus présents et efficaces me paraissent moins glorieux et pas toujours très tenus. Triomphe à l'issue du concert.
La confrontation avec Merritt est remarquable. Elle est un bloc de bronze, immobile, réclamant inexorablement sa récompense face à un Merritt possédé par le désir et la frayeur. N'ayant pas connu sa période belcantiste (mais dont deux amis au goût très sûr m'avaient vanté les fastes), je ne l'ai entendu qu'une fois, en Hérode déjà, avant le naufrage vocal de son Eléazar. On en a embastillé pour moins que cela. Certes, l'acteur était parfaitement crédible et l'homme et l'artiste bouleversants dans les gestes d'impuissance face à la bronca, mais la prestation faisait peine. Deux mois plus tard, c'est un autre homme, un autre chanteur que j'avais devant moi. L'incarnation, même en version de concert, est captivante : ce mélange de désir, de peur, de dégoût, de lâcheté … et d'autorité, Merritt le montre, d'un geste, d'un regard, d'une intonation. Ce combat stupéfiant, dont Hérode sent puis connait l'issue, au point de faire payer à la princesse, sa victoire et son emprise sur lui, Merritt nous le fait vivre.
Triomphe mérité à l'issue du concert également.
Le cas d'Anja Silja est plus difficile. C'est une grande artiste qui apparait en scène, campant une reine noble, cruelle, manipulatrice. Une ancienne Salomé surtout, qui a su éviter le fer. Mais il me faut reconnaître les difficultés d'aujourd'hui. Ses premières interventions relèvent du Sprechgesang et le volume sonore, face à un orchestre déchaîné (et non atténué par la fosse) est bien faible. On percevera plus tard dans la soirée quelques aigus percutants. Une vraie présence en scène, bien sûr, et elle semble prêter beaucoup d'attention à ses camarades, notamment à Nadja Michael.
Captivé par de tels monstres, j'avoue n'avoir prêté que bien moins d'attention à Iochanann, interprété par Alan Titus. Son chant, dans sa citerne ou sur scène, m'a semblé tout à fait honorable, mais ni le timbre, ni l'interprétation ne m'ont emporté. Je fais sans doute preuve d'injustice, en étant moins sensible à cet artiste, dont le charisme me paraissait inférieur à celui des trois autres. Le Narraboth de Rainer Trost était bien chanté, mais je n'ai pas beaucop plus à en dire. Il en sera de même pour les rôles secondaires, bien que conquis par le chœur des Juifs.
L'orchestre était en bien meilleure forme que lors du Rheingold donné à l'Opéra, dont l'ouverture se confondait avec celle de la chasse. C'est en place, puissant, sonore, mais pas spécialement subtil. J'aurais aimé plus de mystère et de moiteur dans les interventions des bois et dans les pianos des cordes. Les percussions sont vigoureuses, et ça ne me déplait pas.
Assis pendant la danse des sept voiles, Merritt, quand il ne reboutonnait pas sa chemise récalcitrante, regardait d'un air amusé le chef, Marc Albrecht, et ses sauts de cabri sur l'estrade .
Public habituel. Les abonnés et les spectateurs les plus aisés ne connaissent guère les usages du concert, ou les méprisent : sonnerie de téléphone, commentaires et conversation avec l'épouse ou les amis etc.
Le programme était offert, attendant sur chaque siège. Pas de surtitrage, et donc le livret fut utile et consulté, sans trop de dérangement .
Beaucoup de succès auprès du public. Bouquets pour les dames.
Les artistes se sont livrés avec beaucoup de gentillesse et de simplicité aux manies de leurs fans : signature de programme et de livret de disque, photos etc. Madame Silja prêtait une attention bienveillante à Nadja Michael. Monsieur Merritt m'a reçu avec beaucoup d'humour.
Et voilà. Mais je ne ferais pas ça tous les jours ;-)
Ayant renoncé à la dernière minute à y retrouner, je cède maintenant la place aux spectateurs de ce soir, en attendant impatiemment les commentaires de ceux qui auront assisté aux débuts parisiens de la femme qui chante le plus fort au monde.
Dernière édition par le Dim 27 Mai 2007, 11:17, édité 1 fois
pascal- Nombre de messages : 12
Date d'inscription : 18/05/2007
Re: Salomé Pleyel
Merci beaucoup pour tous ces détails Pascal.
Concernant Nadja Michael, c'est une ancienne mezzo, ce qui explique sans doute le manque de lumière de ses aigus.
A Pleyel, il y aura un surtitrage.
Concernant Nadja Michael, c'est une ancienne mezzo, ce qui explique sans doute le manque de lumière de ses aigus.
A Pleyel, il y aura un surtitrage.
jeanch- Nombre de messages : 1140
Date d'inscription : 09/01/2006
Re: Salomé Pleyel
merci de ce beau commentaire!pascal a écrit:, en attendant impatiemment les commentaires de ceux qui auront assisté aux débuts parisiens de la femme qui chante le plus fort au monde.
en ce qui concerne les commentaires que tu attends, n'éxagérons rien!!
Salomé à Strasbourg
merci merci, lecteurs adorés
pascal- Nombre de messages : 12
Date d'inscription : 18/05/2007
Re: Salomé Pleyel
Bon, alors pour ce qui me concerne, j'y étais samedi et je dis "Tout pareil".pascal a écrit:Ayant renoncé à la dernière minute à y retourner, je cède maintenant la place aux spectateurs de ce soir, en attendant impatiemment les commentaires de ceux qui auront assisté aux débuts parisiens de la femme qui chante le plus fort au monde.
Si ! Tu as oublié de dire que la climatisation fait un bruit parasite assez pénible (C'est peut être pour cela que l'orchestre joue uniformément forte)
Une photo (floue ) pour apprécier la robe "couleur flamme, ample et plissée, généreusement décolletée" de la dame :
kontchak-
Nombre de messages : 20
Age : 63
Localisation : Nancy
Date d'inscription : 18/05/2007
Re: Salomé Pleyel
Une photo (floue:cry: ) pour apprécier la robe "couleur flamme, ample et plissée, généreusement décolletée" de la dame :
C'est immonde comme robe !
Re: Salomé Pleyel
sniff, mon canard a rétréci !
'
'
pascal- Nombre de messages : 12
Date d'inscription : 18/05/2007
Re: Salomé Pleyel
Oui, vu la description de Pascal, je m'attendais à beaucoup mieux !Abigaille a écrit:Une photo (floue:cry: ) pour apprécier la robe "couleur flamme, ample et plissée, généreusement décolletée" de la dame :
C'est immonde comme robe !
Poupou-
Nombre de messages : 565
Date d'inscription : 08/01/2006
Re: Salomé Pleyel
ben, c'est une robe qui évoque les voiles de Salomé et le feu qui couve en elle, sans oublier le sang qu'elle fera verser (Iochanaan = JB) et le sien propre.
avec de l'imagination, on peut même lui trouver une influence Fortuny (Mario, 1871-1949), contemporain de la composition des chefs d'œuvre de Wilde (1893) et Strauss (1903-1905), que Marcel évoquait ainsi : Les femmes pourront se promener (...) dans des brocarts aussi magnifiques que ceux que Venise ornait pour ses patriciennes avec des dessins d'Orient.
bref elle respecte les didascalies et c'est exactement ce que j'ai décrit ;-)
ensuite, des goûts et des couleurs, nous aurons la sagesse de ne point discuter … surtout pour les voix et les chiffons ;-)
je serai reconnaissant à Kontchak de ne pas faire l'économie d'un compte-rendu, genre dans lequel il excelle
coin-coin à tous
avec de l'imagination, on peut même lui trouver une influence Fortuny (Mario, 1871-1949), contemporain de la composition des chefs d'œuvre de Wilde (1893) et Strauss (1903-1905), que Marcel évoquait ainsi : Les femmes pourront se promener (...) dans des brocarts aussi magnifiques que ceux que Venise ornait pour ses patriciennes avec des dessins d'Orient.
bref elle respecte les didascalies et c'est exactement ce que j'ai décrit ;-)
ensuite, des goûts et des couleurs, nous aurons la sagesse de ne point discuter … surtout pour les voix et les chiffons ;-)
je serai reconnaissant à Kontchak de ne pas faire l'économie d'un compte-rendu, genre dans lequel il excelle
coin-coin à tous
Dernière édition par le Dim 27 Mai 2007, 20:40, édité 1 fois
pascal- Nombre de messages : 12
Date d'inscription : 18/05/2007
Re: Salomé Pleyel
Bah, je soulignais le lyrisme avec lequel tu décris cette robe!
Poupou-
Nombre de messages : 565
Date d'inscription : 08/01/2006
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