Salomé Pleyel
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Re: Salomé Pleyel
Cette photo est à destination de Simon Corley...
Loutherbourg-
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Age : 74
Localisation : au Globus de Zurich
Date d'inscription : 11/05/2007
Re: Salomé Pleyel
Loutherbourg a écrit:Cette photo est à destination de Simon Corley...
C'est une photo de l'Oracolo de Leoni non ?
LeChevalierDesGrieux- Nombre de messages : 544
Date d'inscription : 08/01/2006
Re: Salomé Pleyel
Corley est souvent bon, je trouve, mais je le soupçonne de sécher quelques concerts, de filer sa place à quelqu'un qui n'y connaît pas grand'chose et de faire son article ensuite.
Il avait fait il y a deux ou trois ans un compte-rendu assez étonnnant d'un concert de Perahia: le programme annonçait la 18e sonate de Beethoven (Allegro - scherzo - menuet - presto) et il a joué la 16e (allegro vivace - adagio - allegretto) sans prévenir. Le CR s'étonnait de ce que Perahia, dans la 18e... ait oublié un mouvement Très franchement, sauf à ne rien connaître à rien, on ne peut pas confondre l'adagio de la 16e, au tempo de base lent (et malgré les traits en triples et quadruples croches) avec le menuet de tempo modéré de la 18e... Même en ne connaissant aucune des deux oeuvres, il est évident à l'oreille que cet adagio ne peut pas être un des mouvements centraux de la 18e.
Je suis donc persuadé qu'il n'est pas allé à ce concert et qu'il a demandé au copain pas fute-fute à qui il avait filé la place de lui faire un petit résumé. D'ailleurs, depuis cet épisode, il prend bien soin de détailler les bis
Il est peut-être retombé dans ses mauvaises habitudes pour cette Salomé...
Il avait fait il y a deux ou trois ans un compte-rendu assez étonnnant d'un concert de Perahia: le programme annonçait la 18e sonate de Beethoven (Allegro - scherzo - menuet - presto) et il a joué la 16e (allegro vivace - adagio - allegretto) sans prévenir. Le CR s'étonnait de ce que Perahia, dans la 18e... ait oublié un mouvement Très franchement, sauf à ne rien connaître à rien, on ne peut pas confondre l'adagio de la 16e, au tempo de base lent (et malgré les traits en triples et quadruples croches) avec le menuet de tempo modéré de la 18e... Même en ne connaissant aucune des deux oeuvres, il est évident à l'oreille que cet adagio ne peut pas être un des mouvements centraux de la 18e.
Je suis donc persuadé qu'il n'est pas allé à ce concert et qu'il a demandé au copain pas fute-fute à qui il avait filé la place de lui faire un petit résumé. D'ailleurs, depuis cet épisode, il prend bien soin de détailler les bis
Il est peut-être retombé dans ses mauvaises habitudes pour cette Salomé...
Stolzing-
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Date d'inscription : 08/01/2006
Re: Salomé Pleyel
C'est le même Corley qui trouvait la St-Jean de Haïm passionante et la St-Mathieu du RIAS médiocre.
philou- Admin
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Date d'inscription : 09/01/2006
Re: Salomé Pleyel
Exact, ça en dit long sur le bonhomme...philou a écrit:C'est le même Corley qui trouvait la St-Jean de Haïm passionante et la St-Mathieu du RIAS médiocre.
jeanch- Nombre de messages : 1140
Date d'inscription : 09/01/2006
Re: Salomé Pleyel
windgassen a écrit:http://www.resmusica.com/aff_articles.php3?num_art=3938
Les liens vers des gens qui nous ont trainé dans la boue et craché à la gueule ne sont pas autorisés sur OG !
philou- Admin
- Nombre de messages : 90
Date d'inscription : 09/01/2006
Re: Salomé Pleyel
Quel amateurisme, quel style scolaire et présomptueux...windgassen a écrit:http://www.resmusica.com/aff_articles.php3?num_art=3938
Entre Catherine Et Manon, mon coeur balance vraiment.
jeanch- Nombre de messages : 1140
Date d'inscription : 09/01/2006
Re: Salomé Pleyel
Il est urgent d'entreprendre le même travail de réhabilitation stylistique pour le répertoire allemand que celui qui a été fait pour les répertoires baroque, mozartien ou belcantiste. Et d'en diffuser largement les principes auprès du public comme un Segalini a su si bien le faire pour le belcanto.
Parce qu'une "Salomé qui n'hésite pas à enlaidir son timbre" c'est à peu près la même chose qu'une Lucia chantée par Jane Eaglen... La laideur n'a pas le droit de cité chez Strauss, surtout pas dans Salomé. Par ailleurs, la virginité et la perversité enfantine de Salomé sont les moteurs du drame, la voix se doit de le refléter (et vive Welitsch, et vive Studer, et vive la jeune Behrens!). En termes de chant pur, une Salomé doit être à même de chanter aussi une Ariadne par exemple.
Idem pour un orchestre qui privilégie la "déferlante" sur le raffinement. En plus, il n'y a pas l'excuse pour Strauss de ne pas savoir comme pour Bach par exemple. Strauss a suffisamment écrit à ce sujet, on dispose de nombreux témoignages sonores de quel chef il était, et d'interprétations de ses proches dans ses oeuvres (en tête Krauss et Böhm bien sûr).
Enfin, si sous la baguette d'Albrecht certains ont entendu du Mendelssohn, une musique féérique et un conte enchanté, ou plus simplement toute la volupté raffinée et soyeuse de l'écriture de Strauss tant mieux pour eux! Ils auront passé une meilleure soirée que moi!
Parce qu'une "Salomé qui n'hésite pas à enlaidir son timbre" c'est à peu près la même chose qu'une Lucia chantée par Jane Eaglen... La laideur n'a pas le droit de cité chez Strauss, surtout pas dans Salomé. Par ailleurs, la virginité et la perversité enfantine de Salomé sont les moteurs du drame, la voix se doit de le refléter (et vive Welitsch, et vive Studer, et vive la jeune Behrens!). En termes de chant pur, une Salomé doit être à même de chanter aussi une Ariadne par exemple.
Idem pour un orchestre qui privilégie la "déferlante" sur le raffinement. En plus, il n'y a pas l'excuse pour Strauss de ne pas savoir comme pour Bach par exemple. Strauss a suffisamment écrit à ce sujet, on dispose de nombreux témoignages sonores de quel chef il était, et d'interprétations de ses proches dans ses oeuvres (en tête Krauss et Böhm bien sûr).
Enfin, si sous la baguette d'Albrecht certains ont entendu du Mendelssohn, une musique féérique et un conte enchanté, ou plus simplement toute la volupté raffinée et soyeuse de l'écriture de Strauss tant mieux pour eux! Ils auront passé une meilleure soirée que moi!
Re: Salomé Pleyel
Stolzing a écrit:Corley est souvent bon, je trouve, mais je le soupçonne de sécher quelques concerts, de filer sa place à quelqu'un qui n'y connaît pas grand'chose et de faire son article ensuite.
Il avait fait il y a deux ou trois ans un compte-rendu assez étonnnant d'un concert de Perahia: le programme annonçait la 18e sonate de Beethoven (Allegro - scherzo - menuet - presto) et il a joué la 16e (allegro vivace - adagio - allegretto) sans prévenir. Le CR s'étonnait de ce que Perahia, dans la 18e... ait oublié un mouvement Très franchement, sauf à ne rien connaître à rien, on ne peut pas confondre l'adagio de la 16e, au tempo de base lent (et malgré les traits en triples et quadruples croches) avec le menuet de tempo modéré de la 18e... Même en ne connaissant aucune des deux oeuvres, il est évident à l'oreille que cet adagio ne peut pas être un des mouvements centraux de la 18e.
Je suis donc persuadé qu'il n'est pas allé à ce concert et qu'il a demandé au copain pas fute-fute à qui il avait filé la place de lui faire un petit résumé. D'ailleurs, depuis cet épisode, il prend bien soin de détailler les bis
Il est peut-être retombé dans ses mauvaises habitudes pour cette Salomé...
On ne peut pas être compétent en tout non plus... Mais l'honnêteté, c'est de le reconnaître et de ne pas écrire une critique sur un sujet qu'on ne maîtrise pas... Je me verrais mal écrire quoi que ce soit sur un récital de piano
Filippo- Nombre de messages : 147
Date d'inscription : 09/01/2006
Re: Salomé Pleyel
Catherine Scholler pourrait au moins pousser le professionnalisme jusqu'à nous citer correctement. Personne n'a écrit que les chanteurs hurlaient. Mais bon, il y en a avec qui il faut s'attendre aux pires inélégances.
"Brutale et sans nuance", la direction d'Albrecht le fut - j'ajouterai bruyante et laide - je le maintiens. Certains, ont en effet cru entendre du Mendelssohn, d'autres un modèle de direction viennoise dans la danse des sept voiles (sic). Tant mieux pour eux.
Nous n'avons pas la même conception de ce qu'est Strauss. C'est tout.
"Brutale et sans nuance", la direction d'Albrecht le fut - j'ajouterai bruyante et laide - je le maintiens. Certains, ont en effet cru entendre du Mendelssohn, d'autres un modèle de direction viennoise dans la danse des sept voiles (sic). Tant mieux pour eux.
Nous n'avons pas la même conception de ce qu'est Strauss. C'est tout.
abaris-
Nombre de messages : 292
Date d'inscription : 08/01/2006
Re: Salomé Pleyel
Je voudrais aussi rassurer quelques garçons et filles qui sévissent sur un autre forum opératique : il n'y a pas de cabale contre Albrecht. Il faut arrêter la paranoïa.
Il y a seulement quelques personnes qui ont tenu à faire savoir à M. Albrecht qu'ils n'avaient pas apprécié son (manque de) travail. Rien de plus.
Si Albrecht revient à Paris et que sa prestation est de qualité, nous l'applaudirons sans arrière-pensée.
Il y a seulement quelques personnes qui ont tenu à faire savoir à M. Albrecht qu'ils n'avaient pas apprécié son (manque de) travail. Rien de plus.
Si Albrecht revient à Paris et que sa prestation est de qualité, nous l'applaudirons sans arrière-pensée.
Dernière édition par le Jeu 31 Mai 2007, 13:32, édité 1 fois
abaris-
Nombre de messages : 292
Date d'inscription : 08/01/2006
Re: Salomé Pleyel
Ca c'est toujours le grand truc la cabale...
Les cabales ça existe, mais c'est plus rare que les performances médiocres. De toute façon à Paris, il y a un tropisme étrange: à juger les réactions du public on a toujours globalement l'impression que vient de se donner le concert du siècle.
Des concerts il y a en des bons, des médiocres, des moyens, des inégaux, des inoubliables, des pas bons. En ce qui concerne Albrecht, c'était tout simplement peu travaillé et imaginatif, mal équilibré, peu musical, et anti-straussien au possible. Par rapport à la qualité affichée, je trouve qu'il ne s'en tire pas si mal au rapport applaudissements/huées.
C'est du réchauffé, je l'ai déjà faite à la sortie mardi soir, mais quand même moi je note que Albrecht a été plus hué pour sa Salomé à Pleyel que Eschenbach lors des Ring du Châtelet. Dans le contexte d'un public parisien rapide à faire un triomphe à tout et n'importe quoi, je crois que c'est un signe qui ne trompe pas.
Les cabales ça existe, mais c'est plus rare que les performances médiocres. De toute façon à Paris, il y a un tropisme étrange: à juger les réactions du public on a toujours globalement l'impression que vient de se donner le concert du siècle.
Des concerts il y a en des bons, des médiocres, des moyens, des inégaux, des inoubliables, des pas bons. En ce qui concerne Albrecht, c'était tout simplement peu travaillé et imaginatif, mal équilibré, peu musical, et anti-straussien au possible. Par rapport à la qualité affichée, je trouve qu'il ne s'en tire pas si mal au rapport applaudissements/huées.
C'est du réchauffé, je l'ai déjà faite à la sortie mardi soir, mais quand même moi je note que Albrecht a été plus hué pour sa Salomé à Pleyel que Eschenbach lors des Ring du Châtelet. Dans le contexte d'un public parisien rapide à faire un triomphe à tout et n'importe quoi, je crois que c'est un signe qui ne trompe pas.
Re: Salomé Pleyel
[mode peau de vache] à la décharge de "l'auteure" de l'article (ou de la "notule" -car franchement je n'appelle pas ça un article- comme dit un de mes collègues) de res musica, soulignons le fait que passer de l'Hérodiade de Massenet à la Salomé Strauss doit faire un grand choc... [\fin mode peau de vache]
Je n'ai pas rédigé de compte-rendu (trop naze en ce moment), mais je suis de l'avis de la majroité d'entre vous, sans être aussi catégorique. Pour résumer : direction d'orchestre pas terrible et peu subtile (un understatement), distribution allant du peu satisfaisant à l'excellent. Le laurier à Merrit, au Narraboth, à Titus et au page. Baird correcte étant donné les conditions et le fait que le rôle de soit pas pour elle (tempérament et voix). Que sa tenue et son jeu de scène insupportent, je peux le comprendre. Silja, malgré tout le respect que j'ai pour elle, n'était plus qu'une ombre et je garde un souvenir ébloui de cette interprête dans le même rôle au Châtelet il y a quelques années, pour ne rien dire de sa Kostenicka toujours au Châtelet il y a maintenant une petite dizaine d'années et qui reste l'un de mes plus grands souvenir d'opéra.
une cabale ? ouh ! laissez-moi rire ! non, mais dès que l'on n'est pas d'accord avec certains c'est un drame en 5 actes avec ballet et prologue ..
Kat.
Je n'ai pas rédigé de compte-rendu (trop naze en ce moment), mais je suis de l'avis de la majroité d'entre vous, sans être aussi catégorique. Pour résumer : direction d'orchestre pas terrible et peu subtile (un understatement), distribution allant du peu satisfaisant à l'excellent. Le laurier à Merrit, au Narraboth, à Titus et au page. Baird correcte étant donné les conditions et le fait que le rôle de soit pas pour elle (tempérament et voix). Que sa tenue et son jeu de scène insupportent, je peux le comprendre. Silja, malgré tout le respect que j'ai pour elle, n'était plus qu'une ombre et je garde un souvenir ébloui de cette interprête dans le même rôle au Châtelet il y a quelques années, pour ne rien dire de sa Kostenicka toujours au Châtelet il y a maintenant une petite dizaine d'années et qui reste l'un de mes plus grands souvenir d'opéra.
une cabale ? ouh ! laissez-moi rire ! non, mais dès que l'on n'est pas d'accord avec certains c'est un drame en 5 actes avec ballet et prologue ..
Kat.
Kat- Nombre de messages : 518
Date d'inscription : 08/01/2006
Re: Salomé Pleyel
Et je me sens quand même mieux placé pour parler ce ce concert et en particulier de la direction de Marc Albrecht que ceux qui n'ont entendu que des retransmissions radiophoniques de lui à Lübeck.abaris a écrit:Je voudrais aussi rassurer quelques garçons et filles qui sévissent sur un autre forum opératique : il n'y a pas de cabale contre Albrecht. Il faut arrêter la paranoïa.
Faut quand même pas pousser !
jeanch- Nombre de messages : 1140
Date d'inscription : 09/01/2006
Re: Salomé Pleyel
A titre d'exemple, je rappelle qu'après la déception de Cambreling dans Don Giovanni, celui-ci m'a ébloui dans les Troyens et dans Louise.abaris a écrit:Si Albrecht revient à Paris et que sa prestation est de qualité, nous l'applaudirons sans arrière-pensée.
Pas de caballe donc mais des oreilles oui...
Dernière édition par le Jeu 31 Mai 2007, 14:21, édité 1 fois
jeanch- Nombre de messages : 1140
Date d'inscription : 09/01/2006
Re: Salomé Pleyel
On va finir par se sentir seuls.
http://www.altamusica.com/concerts/document.php?action=MoreDocument&DocRef=3436&DossierRef=3069
http://www.altamusica.com/concerts/document.php?action=MoreDocument&DocRef=3436&DossierRef=3069
abaris-
Nombre de messages : 292
Date d'inscription : 08/01/2006
Re: Salomé Pleyel
La souplesse des transitions,
Albrecht n'arrête pas de s'agiter !l’économie et la maîtrise du geste – montée en puissance très canalisée dans le Quintette des Juifs –,
rubato ? valsée ? anthologique ?le rubato fin de siècle d’une Danse des sept voiles valsée avec décadence et par ailleurs proprement anthologique – la frénésie bruitiste de la percussion –,
Mais c'était brouillon au possible !sont d’une lecture qui jamais ne se départit de la clarté absolue du tissu orchestral, d’une sonorité aérée offrant son luxe de détails
surtout avec des timbales en peau, qui justement permettent d'apporter autre chose que de la force ! pfff– les harpes, la force de frappe des timbales.
Dernière édition par le Jeu 31 Mai 2007, 13:56, édité 3 fois
jeanch- Nombre de messages : 1140
Date d'inscription : 09/01/2006
Re: Salomé Pleyel
abaris a écrit:On va finir par se sentir seuls.
Peu importe, moi ce que je note c'est que la demi-douzaine de straussiens congénitaux d'OG sont globalement en phase, à quelques nuances près, aussi bien sur l'orchestre calamiteux, l'honorable Salomé de Baird , et l'excellence du reste du plateau.
Re: Salomé Pleyel
jeanch a écrit:d’une sonorité aérée offrant son luxe de détails – les harpes, la force de frappe des timbales.
surtout avec des timbales en peau, qui justement permettent d'apporter autre chose que de la force !
C'était une vision tout à fait Eschenbacho-chambriste.
Re: Salomé Pleyel
abaris a écrit:On va finir par se sentir seuls.
non, non, relisez bien le papier de Millon : le seul vraiment à sa place était Narraboth.
Loutherbourg-
Nombre de messages : 600
Age : 74
Localisation : au Globus de Zurich
Date d'inscription : 11/05/2007
Re: Salomé Pleyel
abaris a écrit:On va finir par se sentir seuls.
http://www.altamusica.com/concerts/document.php?action=MoreDocument&DocRef=3436&DossierRef=3069
Lu rapidement, quand même, la critique n'est pas des plus élogieuses pour Baird...Tout cela est dit avec diplomatie (c'est un autre problème), mais en gros on lui reproche d'avoir une voix, pas adaptée au rôle, et de ne pas savoir s'en servir....
Filippo- Nombre de messages : 147
Date d'inscription : 09/01/2006
Re: Salomé Pleyel
philou a écrit:windgassen a écrit:http://www.resmusica.com/aff_articles.php3?num_art=3938
Les liens vers des gens qui nous ont trainé dans la boue et craché à la gueule ne sont pas autorisés sur OG !
Désolé... jen'ai pas suivi cet épisode!
Re: Salomé Pleyel
j'exhume ce fil pour vous rajouter juste une anecdote :Kat a écrit:je milite pour désormais associer Salome à Elektra (avec un entracte entre les deux opéras tout de même, ne serait-ce que pour avoir le temps de mettre des gouttes dans les oreilles).
Kat.
On arrive enfin à faire venir Knappertsbusch à Covent Garden en 1937 pour diriger Salome. On lui envoie son contrat, sur lequel l'administration a marqué par erreur qu'il devait diriger le même soir Salome ET Elektra.
télégramme en retour de l'interessé : "Salome et Elektra même soir. Confirmez. Reste encore de la place pour Götterdämmerung ?".
Kat.
Kat- Nombre de messages : 518
Date d'inscription : 08/01/2006
Re: Salomé Pleyel
Kat a écrit:j'exhume ce fil pour vous rajouter juste une anecdote :Kat a écrit:je milite pour désormais associer Salome à Elektra (avec un entracte entre les deux opéras tout de même, ne serait-ce que pour avoir le temps de mettre des gouttes dans les oreilles).
Kat.
On arrive enfin à faire venir Knappertsbusch à Covent Garden en 1937 pour diriger Salome. On lui envoie son contrat, sur lequel l'administration a marqué par erreur qu'il devait diriger le même soir Salome ET Elektra.
télégramme en retour de l'interessé : "Salome et Elektra même soir. Confirmez. Reste encore de la place pour Götterdämmerung ?".
Kat.
Plein d'humour l'austère Kna!!
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