CADMUS & HERMIONE à l'opéra comique
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CADMUS & HERMIONE à l'opéra comique
Annonce du spectacle par Le Figaro.
saint corentin- Nombre de messages : 221
Date d'inscription : 09/01/2006
Re: CADMUS & HERMIONE à l'opéra comique
Michel Parouty parle de Benjamin Lazar dans Les Echos.
saint corentin- Nombre de messages : 221
Date d'inscription : 09/01/2006
Re: CADMUS & HERMIONE à l'opéra comique
- nouvel article dans le Figaro de Jean Louis Validire
http://www.lefigaro.fr/musique/2008/01/18/03006-20080118ARTFIG00354-retour-du-baroque-a-l-opera-comique.php
- vu par Monique Parmentier sur resmusica
http://www.resmusica.com/aff_articles.php3?num_art=4884
http://www.lefigaro.fr/musique/2008/01/18/03006-20080118ARTFIG00354-retour-du-baroque-a-l-opera-comique.php
- vu par Monique Parmentier sur resmusica
http://www.resmusica.com/aff_articles.php3?num_art=4884
miclo-
Nombre de messages : 223
Date d'inscription : 09/01/2006
Re: CADMUS & HERMIONE à l'opéra comique
J'ai pu assiter hier à la deuxième représentation de Cadmus et Hermione. Découvrant totalement cette oeuvre, je me bornerai juste à quelques remarques.
L'intérêt premier est de donner à découvrir une oeuvre jugée -dès sa création en 1673- fondatrice. Ce qui frappe avant tout c'est la perfection, l'équilibre parfait de cette véritable architecture de la tragédie lyrique. Les aspects héroïques sont relativisés, contrebalencés, par des effets comiques (le compagnon pleutre de Cadmus poursuivi par la "nourrice", la jolie suivante d'Hermione "lachant" sans vergogne son soupirant et servant à la "nourrice" quelques piques bien senties). L'action est avant tout héroïque : il s'agit des exploits de Cadmus voulant délivrer Hermione condamener par son père Mars à épouser un affreux géant, le tout prétexte à effets et machineries. Pas de drame donc, peu de tourments.
Le décor se voulait une re-création d'après les dessins des décors de la création de l'oeuvre et des reprises, en particulier par Vigarani qui collabora étroitement avec Lully. la confrontation des dessins conservés, proposés dans le programme, et des décors réalisés pour l'Opéra comique montre pourtant que l'inspiration est bien lointaine.
L'idée de B. Lazar, déjà menée à bien dans le Bourgeois gentilhomme, est de coller au plus près des témoignages d'époque. c'est ainsi qu'on renoue avec le décor de carton-pâte et toiles peintes, les décors partiellement construits, les effets de machineries. se pose aussi la question de l'éclairage. Dans une optique de restitution, Lazar a choisi l'éclairage à la bougie en essayant de retrouver les pratiques du XVIIe siècle. J'ignore si les quelques légers projecteurs utilisés hier soir avaient été ajoutés pour les besoins de la captation filmée, où s'ils se sont finalement révélés indispensables vu la taille de la salle. Donc, restitution : décor, éclairages, costumes (plutôt réussis, même si j'ai des doutes sur le côté "perroquet" et quelques nuances un peu improbables), et prononciation. Comme pour le Bourgeois gentilhomme, Lazar a voulu que les chanteurs prononcent le français tel qu'on le faisait (ou tel qu'on imagine que cela se faisait) au XVIIe siècle. pour faire vite, cela implique de prononcer les finales (t, s, x prononcés s) d'ouvrir les a ("ane" et non pas "an") et de prononcer le "oi", "oè". Je comprends cette démarche, car effectivement la langue, la déclamation étant indissociable du chant et du récitatif lulliste, on peut se demander si on ne doit pas restituer aussi cet aspect de la tragédie, tout comme on choisit de jouer sur instruments anciens. Le problème est que pour le spectateur moderne cela devient lassant et que l'on pert en "compréhension immédiate". En gros, même en étant familiarisés avec cette prononciation, on finit pourtant très vite à garder les yeux rivés sur les surtitres. Vous me direz que quand on va écouter un opéra tchèque on a tendance à faire pareil... oui, c'ets vrai. Mais le fait que cela soit votre propre langue qui devient tout d'un coup partiellement incompréhensible... je ne sais pas... en même temps, je comprends la démarche. Bref.
En gros, on a le plaisir de découvrir un opéra à la mécanique sans failles, sans temps morts, doté d'une très belle musique, mais qui parait parfois un peu "sous cloche", "pièce de musée". Le parti-pris de reconsitution presque jusqu'au boutiste (décors, costumes où il ne manque pas une plume, gestuelle, danse, prononciation, bougies) semble éloigner de nous l'oeuvre. C'est comme si on admire une "period room" dans un musée d'art décoratif, mais que l'on ne peut pas rentrer de dedans. On admire, mais de loin.
La distribution était très homogène, mais pas impérissable. Pas de voix exceptionnelle (même, que des petites voix, parfois insuffisantes, je pense au prologue), pas de personnalités qui se détachent non plus. C'est un peu l'autre reproche que j'aurais tendance à formuler. C'est propre, net.
Avant tout, ce qui triomphe c'est la musique de Lully, la qualité de la construction de cet opéra. parfois, je me demande si l'on ne fait pas mieux de recréer quelque chose quitte à touner le dos à une époque, plutôt que de foncer dans la reconstitution qui curieusement semble renforcer la distance qui existe entre l'oeuvre issue d'une époque lointaine et le spectateur contemporain. On agrde en mémoire des années après les re-créations d'Atys, Médée, les Indes galantes (opéra comique), mais je ne suis pas sûre que passé l'émerveillement et la curiosité initiaux, on garde un souvenir aussi vif de ce spectacle.
A signaler : l'excellence du programme. Franchement, on est à des années lumières des torchons de l'ONP, pour un prix inférieur ! On y trouve tout ce qui concerne la distribution, les options de reconstitution, un grand nombre d'articles de spécialistes de Lully, Quinault, de la tragédie lyrique, des arts du spectacle sous l'Ancien Régime, et cerise sur le gâteau : un livret complet et une analyse musicale complète !
Kat.
L'intérêt premier est de donner à découvrir une oeuvre jugée -dès sa création en 1673- fondatrice. Ce qui frappe avant tout c'est la perfection, l'équilibre parfait de cette véritable architecture de la tragédie lyrique. Les aspects héroïques sont relativisés, contrebalencés, par des effets comiques (le compagnon pleutre de Cadmus poursuivi par la "nourrice", la jolie suivante d'Hermione "lachant" sans vergogne son soupirant et servant à la "nourrice" quelques piques bien senties). L'action est avant tout héroïque : il s'agit des exploits de Cadmus voulant délivrer Hermione condamener par son père Mars à épouser un affreux géant, le tout prétexte à effets et machineries. Pas de drame donc, peu de tourments.
Le décor se voulait une re-création d'après les dessins des décors de la création de l'oeuvre et des reprises, en particulier par Vigarani qui collabora étroitement avec Lully. la confrontation des dessins conservés, proposés dans le programme, et des décors réalisés pour l'Opéra comique montre pourtant que l'inspiration est bien lointaine.
L'idée de B. Lazar, déjà menée à bien dans le Bourgeois gentilhomme, est de coller au plus près des témoignages d'époque. c'est ainsi qu'on renoue avec le décor de carton-pâte et toiles peintes, les décors partiellement construits, les effets de machineries. se pose aussi la question de l'éclairage. Dans une optique de restitution, Lazar a choisi l'éclairage à la bougie en essayant de retrouver les pratiques du XVIIe siècle. J'ignore si les quelques légers projecteurs utilisés hier soir avaient été ajoutés pour les besoins de la captation filmée, où s'ils se sont finalement révélés indispensables vu la taille de la salle. Donc, restitution : décor, éclairages, costumes (plutôt réussis, même si j'ai des doutes sur le côté "perroquet" et quelques nuances un peu improbables), et prononciation. Comme pour le Bourgeois gentilhomme, Lazar a voulu que les chanteurs prononcent le français tel qu'on le faisait (ou tel qu'on imagine que cela se faisait) au XVIIe siècle. pour faire vite, cela implique de prononcer les finales (t, s, x prononcés s) d'ouvrir les a ("ane" et non pas "an") et de prononcer le "oi", "oè". Je comprends cette démarche, car effectivement la langue, la déclamation étant indissociable du chant et du récitatif lulliste, on peut se demander si on ne doit pas restituer aussi cet aspect de la tragédie, tout comme on choisit de jouer sur instruments anciens. Le problème est que pour le spectateur moderne cela devient lassant et que l'on pert en "compréhension immédiate". En gros, même en étant familiarisés avec cette prononciation, on finit pourtant très vite à garder les yeux rivés sur les surtitres. Vous me direz que quand on va écouter un opéra tchèque on a tendance à faire pareil... oui, c'ets vrai. Mais le fait que cela soit votre propre langue qui devient tout d'un coup partiellement incompréhensible... je ne sais pas... en même temps, je comprends la démarche. Bref.
En gros, on a le plaisir de découvrir un opéra à la mécanique sans failles, sans temps morts, doté d'une très belle musique, mais qui parait parfois un peu "sous cloche", "pièce de musée". Le parti-pris de reconsitution presque jusqu'au boutiste (décors, costumes où il ne manque pas une plume, gestuelle, danse, prononciation, bougies) semble éloigner de nous l'oeuvre. C'est comme si on admire une "period room" dans un musée d'art décoratif, mais que l'on ne peut pas rentrer de dedans. On admire, mais de loin.
La distribution était très homogène, mais pas impérissable. Pas de voix exceptionnelle (même, que des petites voix, parfois insuffisantes, je pense au prologue), pas de personnalités qui se détachent non plus. C'est un peu l'autre reproche que j'aurais tendance à formuler. C'est propre, net.
Avant tout, ce qui triomphe c'est la musique de Lully, la qualité de la construction de cet opéra. parfois, je me demande si l'on ne fait pas mieux de recréer quelque chose quitte à touner le dos à une époque, plutôt que de foncer dans la reconstitution qui curieusement semble renforcer la distance qui existe entre l'oeuvre issue d'une époque lointaine et le spectateur contemporain. On agrde en mémoire des années après les re-créations d'Atys, Médée, les Indes galantes (opéra comique), mais je ne suis pas sûre que passé l'émerveillement et la curiosité initiaux, on garde un souvenir aussi vif de ce spectacle.
A signaler : l'excellence du programme. Franchement, on est à des années lumières des torchons de l'ONP, pour un prix inférieur ! On y trouve tout ce qui concerne la distribution, les options de reconstitution, un grand nombre d'articles de spécialistes de Lully, Quinault, de la tragédie lyrique, des arts du spectacle sous l'Ancien Régime, et cerise sur le gâteau : un livret complet et une analyse musicale complète !
Kat.
Dernière édition par le Jeu 24 Jan 2008, 22:44, édité 1 fois
Kat- Nombre de messages : 518
Date d'inscription : 08/01/2006
Re: CADMUS & HERMIONE à l'opéra comique
quelle est la durée du spectacle ?
christopher- Nombre de messages : 26
Date d'inscription : 08/01/2006
Re: CADMUS & HERMIONE à l'opéra comique
environ 2h45 en comptant l'entracte.
Kat.
Kat.
Kat- Nombre de messages : 518
Date d'inscription : 08/01/2006
Re: CADMUS & HERMIONE à l'opéra comique
L'avis de Mariode pour Le Monde.
saint corentin- Nombre de messages : 221
Date d'inscription : 09/01/2006
Cadmus et Hermione
J'y étais hier soir et me suis fort ennuyée. L'oeuvre n'est pas impérissable, les chanteurs pas très bons, les danseurs, non plus, seul l'orchestre était correct.
Quant au parti-pris de mise en scène, je le trouve discutable : prononciation du texte, postures...D'où j'étais, je ne voyais pas les surtitres, ce n'est pas plus mal...
Tout le temps, j'ai pensé à "Atys", dans ce même lieu, et au travail admirable de Villégier qui, tout en étant fidèle à l'oeuvre, ne prétendait pas réaliser une reconstitution d'époque...Le spectacle que j'ai vu hier donne assez la mesure des limites de l'exercice...Comment peut-on avoir la prétention de restituer ce qui se faisait au XVIIème siècle en matière de chant et de prononciation ? Quand les intégristes qui occupent le terrain cesseront-ils de nous assommer de leurs affirmations pédantes ?
J'ai entendu il y a peu Benjamin Lazar et Vincent Dumestre sur France Mu, s'esclaffer à l'écoute de Gérard Souzay chantant un air de "Cadmus et Hermione" en reconnaissant, certes, que Souzay avait une belle voix, mais que son interprétation n'était pas "baroque"... Inutile de dire que je préfère Souzay à l'aigre Claire Lefilliâtre qui m'a encore cassé les oreilles hier soir....
Autre détail non négligeable : la scène de Favart est trop petite pour ce spectacle, ou bien il y a trop de décors... On voyait bien que les danseurs et les choeurs étaient à l'étroit, que cela ne respirait pas... La scène du Théâtre de Versailles aurait mieux convenu... J'avais assisté il y a quelques années à un spectacle de danse baroque qui y trouvait parfaitement sa place...
En conclusion, pour moi, un spectacle faisant fâcheusement penser à une soirée de patronage (certains costumes sont très laids, voire ridicules), par une équipe hyper- médiatisée, certes, mais dont perçoit très vite les approximations..
A mon sens, l'art est forcément une ré-création... Jamais on se saura comment chantaient les artistes de cette époque, et en particulier les castrats. Ceux qui prétendent détenir la vérité absolue dans ce domaine sont des charlatans...On peut s'approcher de ce que l'on suppose ou prétend être une vérité historique, certes, dire qu'on la détient de manière certaine et exclusive est une supercherie...
Dans cette optique, le travail de Martinoty pour le Thésée du TCE risque d'être quand même nettement plus intéressant....
Dans l'article du "Monde", le fait que Marie-Aude qualifie Lefilliâtre de "beau soprano" soulève quelque inquiétude quant à l'état de son système auditif....
En conclusion, une nouvelle déception, après l'Etoile.... Décidément, je l'avais bien dit que cette saison de l'Opéra-Comique nouvelle manière n'était pas très palpitante....
Juditha
Quant au parti-pris de mise en scène, je le trouve discutable : prononciation du texte, postures...D'où j'étais, je ne voyais pas les surtitres, ce n'est pas plus mal...
Tout le temps, j'ai pensé à "Atys", dans ce même lieu, et au travail admirable de Villégier qui, tout en étant fidèle à l'oeuvre, ne prétendait pas réaliser une reconstitution d'époque...Le spectacle que j'ai vu hier donne assez la mesure des limites de l'exercice...Comment peut-on avoir la prétention de restituer ce qui se faisait au XVIIème siècle en matière de chant et de prononciation ? Quand les intégristes qui occupent le terrain cesseront-ils de nous assommer de leurs affirmations pédantes ?
J'ai entendu il y a peu Benjamin Lazar et Vincent Dumestre sur France Mu, s'esclaffer à l'écoute de Gérard Souzay chantant un air de "Cadmus et Hermione" en reconnaissant, certes, que Souzay avait une belle voix, mais que son interprétation n'était pas "baroque"... Inutile de dire que je préfère Souzay à l'aigre Claire Lefilliâtre qui m'a encore cassé les oreilles hier soir....
Autre détail non négligeable : la scène de Favart est trop petite pour ce spectacle, ou bien il y a trop de décors... On voyait bien que les danseurs et les choeurs étaient à l'étroit, que cela ne respirait pas... La scène du Théâtre de Versailles aurait mieux convenu... J'avais assisté il y a quelques années à un spectacle de danse baroque qui y trouvait parfaitement sa place...
En conclusion, pour moi, un spectacle faisant fâcheusement penser à une soirée de patronage (certains costumes sont très laids, voire ridicules), par une équipe hyper- médiatisée, certes, mais dont perçoit très vite les approximations..
A mon sens, l'art est forcément une ré-création... Jamais on se saura comment chantaient les artistes de cette époque, et en particulier les castrats. Ceux qui prétendent détenir la vérité absolue dans ce domaine sont des charlatans...On peut s'approcher de ce que l'on suppose ou prétend être une vérité historique, certes, dire qu'on la détient de manière certaine et exclusive est une supercherie...
Dans cette optique, le travail de Martinoty pour le Thésée du TCE risque d'être quand même nettement plus intéressant....
Dans l'article du "Monde", le fait que Marie-Aude qualifie Lefilliâtre de "beau soprano" soulève quelque inquiétude quant à l'état de son système auditif....
En conclusion, une nouvelle déception, après l'Etoile.... Décidément, je l'avais bien dit que cette saison de l'Opéra-Comique nouvelle manière n'était pas très palpitante....
Juditha
Juditha- Nombre de messages : 23
Date d'inscription : 30/05/2007
Re: CADMUS & HERMIONE à l'opéra comique
Juditha a écrit:J'y étais hier soir et me suis fort ennuyée.
Juditha
Je ne sais pas pourquoi, je ne suis pas surpris.
Ceci dit, regrettant de ne pas pouvoir assister au spectacle, je trouve que votre compte rendu soulève quelques questions des plus pertinentes sur ce travail de recréation.
abaris-
Nombre de messages : 292
Date d'inscription : 08/01/2006
Re: CADMUS & HERMIONE à l'opéra comique
Moi aussi, la prononciation m'a agacée. Pour ceux qui n'iront pas, outre les consonnes finales prononcées: "nousse" pour "nous", il y a aussi les "moué" pour "moi".
Sinon, ça avait l'air joli pour ce que j'en ai vu (1/5 de la scène) mais pas spécialement dynamique musicalement. Ca a été filmé par France 3 et un DVD devrait sortir.
Sinon, ça avait l'air joli pour ce que j'en ai vu (1/5 de la scène) mais pas spécialement dynamique musicalement. Ca a été filmé par France 3 et un DVD devrait sortir.
Poupou-
Nombre de messages : 565
Date d'inscription : 08/01/2006
Re: CADMUS & HERMIONE à l'opéra comique
Mais comment??? DUMESTRE est super magnifique!!! LAZAR est trop bien et LEFILLIATRE est magique dans ces trucs! comment peut-on ne pas aimer çA??? SNIIIIIIIIIIIIIF!!! je n pourrai pas voir cadmus et hermione buaaaaaaaaah Et ça me gene aussi, que Le Poème Harmonique va faire un concert à potsdam LE MEME SOIR que je chante "LA Rosinda" Snif Mais peut etre que j'aurai fini quand ils commencent... j'espère faire à temps!!!
ariodante79- Nombre de messages : 41
Date d'inscription : 25/05/2007
Re: CADMUS & HERMIONE à l'opéra comique
J'y suis allée le 26 et j'ai adoré.
Je préfère plutôt parler du résultat de l'ensemble que par éléments séparés.
L'effet carton-pâte, "commedia dell'arte" (je ne sais pas l'écrire), la prononciation.
La démarche de recréation m'a beaucoup plu.
Je préfère plutôt parler du résultat de l'ensemble que par éléments séparés.
L'effet carton-pâte, "commedia dell'arte" (je ne sais pas l'écrire), la prononciation.
La démarche de recréation m'a beaucoup plu.
lilylatig- Nombre de messages : 136
Date d'inscription : 08/01/2006
Re: CADMUS & HERMIONE à l'opéra comique
lilylatig a écrit:J'y suis allée le 26 et j'ai adoré.
Je préfère plutôt parler du résultat de l'ensemble que par éléments séparés.
L'effet carton-pâte, "commedia dell'arte" (je ne sais pas l'écrire), la prononciation.La démarche de recréation m'a beaucoup plu.
on s'en fiche! depuis que brunehilde et sieglinde nous apprennent les langues: on comprend tout! meme l'islandais prononcé par une allemande elevée au mexique.
ya des photos???
c'est moi-
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